En même temps, c’est aussi une force de l’ePub : redonner un peu la main à l’éditeur ; après tout, c’est quand même lui qui construit le livre, non ? Je trouve aussi agréable d’avoir des formatage décidés par l’éditeur, avec une police différentes par livres, des marges différentes, des têtes de chapitre différentes.
Si tous les livres que je lis étaient sortis du même moule, ça serait d’un triste… La surprise et la variété font partie de mon plaisir de lecture. Déjà qu’on n’a plus de changement de papier et reliure, si le peu de variété qui nous reste est évacué, bonjour la monotonie !
En revanche, je plonge systématiquement dans le code quand les choix de l’éditeur sont trop aberrants pour être acceptés en tant que « choix de l’éditeur ». Par exemple des marges énormes ou des espace sécables là où il faut pas. Voire quand l’éditeur a fait tout simplement un travail de GORET (voir les Pierre-André Taggieff faits par Numilog, ou le Roman Français de Beigbeder, qui sont UNE HONTE, et mériteraient d’être remboursés).
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