
comme je le disais je suis complètement hermétique au surréalisme. La fille qui a un nénuphar qui lui pousse dans le poumon...

il avait fumé quoi le gars avant d'écrire ça ?


franchement j'ai détesté ce livre et ça a vraiment été une punition d'avoir à le lire et pire encore d'en faire un "résumé" et de dire pourquoi c'était un chef d'oeuvre

j'ai résumé, j'ai dit honnêtement pourquoi j'avais détesté et je me suis pris une sale note
J'avais une prof de français qui considérait que tout oeuvre inscrite au programme ne pouvait forcément qu'être un chef d'oeuvre et qu'en conséquence il n'était pas permis de dire qu'on avait pas aimé, même si c'était argumenté et correctement écrit. J'ai été gâtée avec cette prof: la même année, j'ai eu le droit à l'écume des jours de Vian, Le blé en herbe de Colette et la Peste de Camus

Sans compter que je n'ai pas apprécié que l'histoire racontée par Vian soit totalement invraisemblable, les deux premiers m'ont paru "gnian gnian" et le dernier chiant comme la pluie : il ne se passe rien dans La Peste, on attend et on attend et puis c'est tout. Il faut avouer que j'étais beaucoup plus branchée sur le Réalisme voire l'anticipation à la "1984", le "meilleur des mondes", "Farenheit 451" et autres livres "joyeux" et "riants" dans le même style
J'aimais les romans "noirs" mais à l'époque (en fait j'aime toujours ça

), je n'étais pas encore plus attirée que ça par les policiers alors que maintenant, je ne lis quasiment plus que ça. Je crois que parmi les premiers "policiers" que j'ai lu devaient se trouver "le chien des baskerville", le mystère de la chambre jaune" et puis "double meurtre dans la rue Morgue" et depuis, je suis infectée
Enfin parmi les livres qu'on m'ont rempli d'horreur et d'effroi, il y a également die Blechtrommel de Günter Grass. Nous avions eu à lire ce livre puis avions subi la projection du film éponyme en VO en cours d'allemand et ça m'a tenue éloignée depuis de la littérature allemande.